23 novembre 2015

C’est à cette question que l’étude du think tank Les Moulins s’est attachée à répondre.

 

Dans un premier temps, l’étude s’attache à fournir une grille d’analyse rigoureuse permettant de catégoriser les différents types d’innovateurs qui gravitent dans et autour de la profession. Sont-ils tous de ubérisateurs en puissance ? Les innovateurs de rupture regroupés sous le terme de « barbares » dans le cadre de cette étude sont loin d’être une population homogène. L’étude les catégorise et les définit.

 

Dans un deuxième temps, les menaces mais aussi les opportunités et les aspects très positifs que ces différents types de barbares font naitre dans la profession sont analysés.

 

La troisième partie montre que les « barbares » sont déjà très présents sur le marché des professions réglementées y compris la santé ou le droit, analyse les facteurs qui ont permis cela et présente les grandes caractéristiques qui les définissent.

 

Enfin, l’étude intègre une grande enquête menée au sein même de la profession. Que se passe-t-il dans notre profession ? Qu’en pensent les professionnels eux-mêmes ? Quelles menaces et quelles opportunités identifient-ils et quels scénarii imaginent-ils pour la profession dans 10 ans ?

Autant de questions qu’un jeune professionnel d’aujourd’hui, qu’il soit stagiaire, mémorialiste, jeune diplômé en réflexion sur son avenir ou jeune installé en libéral, jeune associé de cabinet doit se poser. Dans cet objectif, l’ANECS et le CJEC vous recommandent de télécharger l’étude « La profession va-t-elle se faire ubériser ? » by B-ready and powered by QuickBooks sur le site des Moulins

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